Le Vaisseau Gramophone : Quand un violoniste explorateur fait escale
- Robin Gomboc
- 23 mai
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 27 mai
Dans les rues d’un village, sur une place de marché ou au détour d’un festival. Un étrange navire roule doucement au milieu des passants. À son bord, un violoniste, explorateur de sons et de mondes. Son nom : Dimitri, son embarcation : le Vaisseau Gramophone.

Un concert pour les oreilles curieuses
Dimitri ne joue pas comme les autres. Il n’a ni scène, ni micro. Il place un vieux disque 78 tours sur la platine de son gramophone, remonte la manivelle, et tout se met en mouvement. Les pavillons sonores tournent, la musique s’élève et le violon chante.
Autour de lui, les airs du monde entier invitent à la fête : tangos argentins, gigues irlandaises, valses viennoises, french cancan d’Offenbach, airs tsiganes… Les notes voyagent comme le vent. Parfois, ce sont des musiques de films qui prennent le relais, celles de Nino Rota, d’Ennio Morricone, ou de Vladimir Cosma.
Une rencontre vivante
Le Vaisseau Gramophone ne se contente pas de jouer. Il invite petits et grands à monter à bord, partager un bout du voyage. Les déambulations deviennent un spectacles qui invite à rêver. Les places deviennent des scènes. Chaque halte est une escale.
Quand la musique se termine, Dimitri reprend le gouvernail et cherche un nouveau rivage. Au-delà des rues et des frontières il repart vers une autre aventure.
Une musique qui relie
Le Vaisseau Gramophone est plus qu’un concert. C’est un lien entre les cultures, entre les gens, entre les générations. C’est un moment suspendu, une fête simple et poétique. Alors si un jour, vous croisez ce drôle de navire, arrêtez vous un instant. Tendez l’oreille et laissez vous embarquer.
Pour en savoir plus : la-gramophomobile-80.webselfsite.net/accueil




Commentaires