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Hayashi 林 – La Forêt : une œuvre collective pour faire pousser la Paix

  • Photo du rédacteur: Robin Gomboc
    Robin Gomboc
  • 20 mai
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 27 mai

Dans un monde bousculé par les conflits, l’agitation et le bruit, il est parfois difficile de trouver un moment de calme. C’est à cette question que répond Michiko Fou avec une œuvre performative, collective et poétique, imaginée comme une parenthèse de Paix.


© Ana Bloom
© Ana Bloom

Devenir arbre, pour mieux se relier

L’arbre est un symbole puissant : il est stable, enraciné mais aussi souple. Il grandit lentement, sans bruit. Il relie la terre au ciel et vit en lien avec d’autres êtres vivants. L’incarner, c’est ralentir, c’est entrer dans une autre temporalité. Le présent s’étire, la pensée s’apaise. Le corps retrouve un équilibre profond.


Dans Hayashi 林 – La Forêt, chaque participant devient un arbre. Puis, peu à peu, une forêt se forme. Les corps s’alignent, les énergies s’accordent. Ce moment suspendu, collectif, crée un espace rare : un espace de Paix.

"Un moment collectif de Paix dans le tumulte de ce monde actuel"

Une œuvre participative et vivante

Ce projet est pensé pour s’adapter à différents contextes : musées, écoles, espaces publics, entreprises ou festivals. Partout où elle pousse, La Forêt s’adapte au terrain, aux personnes, au climat du moment. Elle peut être silencieuse ou engagée, intime ou monumentale. Dans une école, l’œuvre devient un atelier pour éveiller les enfants à leur corps, à l’écoute de soi et des autres. Dans un musée, elle se transforme en installation vivante, sensorielle, qui invite à ralentir. Dans une entreprise, elle ouvre un espace de respiration collective, de cohésion et de recentrage. Dans un espace urbain ou militant, elle devient acte poétique et politique : être en paix dans le tumulte.

Autour de l’œuvre, des ateliers sont proposés selon les publics. Danseurs, artistes, enfants, citoyens… Chacun peut vivre l’expérience à sa manière. À travers des exercices simples de posture, de lenteur, de respiration, les participants explorent leur propre verticalité.


Une forêt qui pousse partout

Hayashi 林 – La Forêt n’est pas une œuvre figée. Elle évolue, se transforme, selon les lieux et les personnes. Elle vit à travers ceux qui la portent et la traversent. Elle rappelle que, même au cœur de l’agitation, il est possible de faire pousser la paix. Un arbre, puis un autre et encore un autre.

C’est ainsi que naît une forêt. C’est ainsi que se crée un espace d’humanité.


Pour en savoir plus sur ses formations et ses projets, vous pouvez visiter son site officiel : michiko-fou.com.


 
 
 

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